Les autotests sont désormais accessibles dans les grandes surfaces jusqu’au 31 janvier. C’est une bonne chose mais c’est encore largement insuffisant. Au vu de la situation sanitaire, il est impératif que les lieux d’achat des autotests soient encore multipliés et que le coût soit le plus maîtrisé possible.
Se tester c’est éviter de propager le virus, c’est pouvoir s’isoler si nécessaire, c’est se prémunir et protéger les autres. C’est une aberration sanitaire de faire la queue pendant deux heures pour se procurer un autotest en pharmacie alors que des centaines de milliers de canaux de vente existent depuis les grandes villes jusqu’aux villages. Nous constatons que nos concitoyens se sont massivement appropriés cet outil de lutte contre la propagation du virus qui est extrêmement simple d’utilisation. Il ne faut pas que des considérations mercantiles viennent s’opposer à la généralisation et la banalisation du testing.