7 MESURES ESSENTIELLES POUR NOS RETRAITES !
Le montant de nos retraites est trop faible, la pénibilité n’est pas reconnue, les aléas de la vie sont mal pris en charge. Les infirmières et les infirmiers libéraux sont malmenés : augmentation de nos charges professionnelles, quasi-totalité de nos honoraires bloqués depuis 16 ans, baisse de certaines de nos rémunérations (perfusions), chasse aux indus, contrôles URSSAF, paperasserie administrative, pénibilité accrue. Les infirmières et les infirmiers libéraux doivent pouvoir partir plus tôt à la retraite, bénéficier d’une retraite décente et de prestations dignes !
NOTRE ÉQUIPE
TITULAIRES
Christophe Chabot
Var
En plus de l’augmentation de notre retraite de base, une retraite complémentaire par capitalisation soutenue par l’État doit être mise en place pour celles et ceux qui le veulent.
Xavier Caloin
Lot
Les tarifs des prévoyances sont exorbitants. Beaucoup ne peuvent plus payer. La solidarité nationale doit intervenir pour maîtriser ces coûts. Nous sommes un maillon essentiel de la chaine du soin et à ce titre nous méritons une compensation nationale.
Marine Turpain Ben Ameur
Allier
La maternité, la maladie, l’invalidité ne sont pas suffisamment prises en compte.Cela doit changer.
Edwige Mieyan
Hautes-Pyrénées
Les cotisations augmentent et le montant des retraites reste trop faible.
C’est inacceptable.
Isabelle Dumontier Hans
Hauts-de-Seine
Travailler jusqu’à 67 ans pour un départ à taux plein est juste impossible. Seul un départ à taux plein dès 62 ans et même pour ceux qui le veulent de façon progressive dès 60 ans doit être possible.
SUPPLÉANTS
Jean-Sébastien Nizou
Bouches-du-Rhône
Il est inacceptable de devoir travailler toujours plus, payer toujours plus, pour finir avec une retraite indécente !
Isabelle Lejeune
Val-d’Oise
Nous avons beaucoup de mal à joindre la Carpimko.
Il nous faut des réponses et des horaires adaptés.
Claudette Gassen
Ardennes
La Carpimko ne tolère aucun retard dans le paiement des cotisations, aucun retard ne doit être toléré dans le versement de nos prestations.
Dés pénalités de retard doivent être instaurées.
Patricia Fontan
Haute-Vienne
Nous sommes tous très impactés physiquement et même psychologiquement par notre métier.
L’âge de départ à 67 ans est insensé.
Cécile Boulifard
Haut-Rhin
Notre profession a 7 ans d’espérance de vie en moins que la moyenne nationale ce n’est pas tolérable. Il est vital que la pénibilité de notre métier soit reconnue rapidement.
COMMENT VOTER ?
A partir du 11 juin 2025, les électeurs recevront par la Poste, un pli contenant :
- Une notice explicative des modalités de vote dématérialisé (voir le modèle) ;
- Un identifiant de connexion au site de vote dédié à ce scrutin.
En cas de perte ou de non-réception du matériel de vote, contactez le numéro vert : 0 800 96 00 31 (service et appel gratuits) muni de votre donnée d’authentification : les 4 derniers chiffres de votre numéro de sécurité sociale sans la clé.
Du 24 juin au 8 juillet 2025, les électeurs pourront exprimer leur vote. Il ne sera tenu compte que des votes exprimés avant l’heure de clôture du scrutin, soit avant 13h00, le 8.07.2025.
Chaque électeur dispose d’une voix. Le vote se déroule uniquement par vote électronique.
Du 24 juin au 8 juillet 2025 à 13 h 00, les électeurs pourront exprimer leur vote.
Chaque électeur dispose d’une voix. Le vote se déroule uniquement par vote électronique.
Lien vers la plateforme de vote à partir du 24 juin 2025 : https://carpimko2025.maiadouro.eu/